Kairouan compte un taux assez élevé d’analphabètes, au point qu’il figure au premier rang de ceux qui ont besoin d’apprendre à vivre dignement. Et l’école dite de la deuxième chance, qui vient d’y ouvrir ses portes, aurait dû aboutir à cette fin. Malgré la gratuité de l’enseignement public et la loi obligeant les parents à scolariser leurs enfants jusqu’à …